Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

--- fonctions:structuration:principes:orbisgis [//23/02/2011 19:47//] – modification externe 127.0.0.1
+++ fonctions:structuration:principes:orbisgis [//06/04/2011 12:12//] – reali
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-==== A propos des requêtes ====
+==== A propos des requêtes Orbisgis 2.2 ====
-L'utilisation des requêtes nécessitent l'affichage de deux fenêtres : SQL console, la fenêtre d'exécution, et SQL Repository, la fenêtre de saisie de requêtes.
+L'utilisation des requêtes nécessite l'affichage de deux fenêtres :
-{{:opensource2009:obg_list_requete_obg.png|}}
+SQL console (N°1), la fenêtre de saisie et d'exécution des requêtes,  et Geocognition (N°2) contenant un dossier SQL qui liste les requêtes disponibles.
-Dans le répertoire Orbisgis se trouve 4 sous-dossiers : IO, Alphanumeric, geometry, et other. IO permet d'enregistrer des tables, des bases de données dans le système. Alphanumeric permet de faire des calculs, geometry, de faire des traitements sur l'aspect géométrique des données, other, de faire d'autres traitements comme d'afficher une table ou d'afficher un zoom du geomark.
+{{:fonctions:structuration:principes:1.png|}}
-Si nous glissons une requête dans la console SQL, nous remarquons que les requêtes SQL sont toutes préformatées. Par exemple, la requête pour faire des sommes : ''SELECT sum(myField) FROM myTable'' demande un nom de champ (ou de colonne) à l'emplacement de "myfield" et un nom de table à l'emplacement de "myTable". Le mieux est alors de glisser la table du TOC en question dans la console et à l'emplacement adéquat.
+Dans le dossier SQL se trouve une liste de requête qui permet :
-Quand une requête est mal écrite, elle va s'écrire en rouge ou en vert, et quand elle respecte la syntaxe demandée, elle devient noire, avec des arguments textes en bleu, et des arguments numériques en marron.
+-	d’agir sur les données alphanumériques (interrogation des tables et bases de données…),
-Il est possible d'enregistrer la requête et, pour l'exécuter, il suffit d'appuyer sur la touche "play". A l'exécution de la requête, la fenêtre "job status" se met en route, et à la suite de cela, si la requête a été bien écrite, soit une fenêtre de données va afficher le résultat, soit une nouvelle couche de forme gdms et un numéro va s'afficher dans le TOC. Cette dernière procédure permet de différencier les requêtes d'interrogation et les requêtes de transformation.
+-	de faire des statistiques simples (Somme, moyenne…),
-Notons aussi qu'à chaque requête dans le "SQL repository" existe une info-bulle permettant de savoir à quoi sert la requête en question.
+-	de réaliser des traitements sur les objets géographiques (zones tampons, intersections…)
-==== Utiliser le BEAN-SHELL  ====
+-	d'afficher une table ou d'afficher un zoom du geomark…
-Le Bean-Shell correspond au mode d'utilisation de script sous OrbiGIS.
+Si nous glissons une requête dans la console SQL, nous remarquons que les requêtes SQL sont toutes préformatées. Par exemple, la requête pour faire des sommes : SELECT sum(myField) FROM myTable demande un nom de champ (ou de colonne) à l'emplacement de “myfield” et un nom de table à l'emplacement de “myTable”. Le mieux est alors de glisser la table du TOC en question dans la console et à l'emplacement adéquat.
-Cette méthode permet de mettre en place des scripts d'automatisation de taches qui permettront de réaliser des opérations répétitives.
-__Exemple 1 __ : //Comment lister toutes les fonctions SQL ?//
+Quand une requête est mal écrite, elle va s'écrire en rouge ou en vert, et quand elle respecte la syntaxe demandée, elle devient noire, avec des arguments textes en bleu, et des arguments numériques en marron.
+Il est possible d'enregistrer la requête et, pour l'exécuter, il suffit d'appuyer sur la touche “play”. A l'exécution de la requête, la fenêtre “job status” se met en route, et à la suite de cela, si la requête a été bien écrite, soit une fenêtre de données va afficher le résultat, soit une nouvelle couche de forme gdms et un numéro va s'afficher dans le TOC.
-''import org.gdms.sql.function.FunctionManager;''
+Cette dernière procédure permet de différencier les requêtes d'interrogation et les requêtes de transformation.
+Notons aussi qu'à chaque requête dans le dossier SQL présent dans « Geocognition” existe une info-bulle permettant de savoir à quoi sert la requête en question
-''t = FunctionManager.nameFunction.keySet().toArray(new String[0]);''
+**Utiliser le BEAN-SHELL :**
-''Arrays.sort(t);''
+Le Bean-Shell correspond au mode d'utilisation de script sous OrbiGIS. Cette méthode permet de mettre en place des scripts d'automatisation de taches qui permettront de réaliser des opérations répétitives.
-''for(Object f: t)''
+Exemple 1 : Comment lister toutes les fonctions SQL ?
-''{ print(f); }''
+import org.gdms.sql.function.FunctionManager;
+t = FunctionManager.nameFunction.keySet().toArray(new String[0]);
+Arrays.sort(t);
-__Exemple 2__ : //Comment évaluer la coordonnée en Z d'une couche ?//
+for(Object f: t)
-''import com.vividsolutions.jts.geom.Coordinate;''
+{ print(f); }
-''sds = gc.getLayerModel().getLayerByName(”gdms1215009158660″).getDataSource();''
+Exemple 2 : Comment évaluer la coordonnée en Z d'une couche ?
-''for (int rowIndex = 0 ; rowIndex < sds.getRowCount() ; rowIndex++) {''
+import com.vividsolutions.jts.geom.Coordinate;
-''geom = sds.getGeometry(rowIndex);''
+sds = gc.getLayerModel().getLayerByName(”gdms1215009158660″).getDataSource();
+for (int rowIndex = 0 ; rowIndex < sds.getRowCount() ; rowIndex++) {
+geom = sds.getGeometry(rowIndex);
+print(rowIndex + ” ” + geom.getClass().getSimpleName());
+s = “tz :: “;
+for (Coordinate c : geom.getCoordinates())
+{ s = s + ” ” + c.z; }
+print(s);
-''print(rowIndex + ” ” + geom.getClass().getSimpleName());''
-''s = “tz :: “;''
-''for (Coordinate c : geom.getCoordinates())''
-'' { s = s + ” ” + c.z; }''
-''print(s);''