Bandeau haut

Outils pour utilisateurs

Outils du site


manuel:geomatique_archeologie

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentesRévision précédente
Prochaine révision
Révision précédente
manuel:geomatique_archeologie [//17/05/2023 09:34//] – [Historique et développement] joliveaumanuel:geomatique_archeologie [//17/05/2023 09:55//] (Version actuelle) joliveau
Ligne 26: Ligne 26:
 Cette tendance est encore plus marquée avec l’apparition des technologies Open Source ou la diffusion régulière mais inéluctable de géo-services tels que Google Earth, Virtual Earth, le Géoportail.  Cette tendance est encore plus marquée avec l’apparition des technologies Open Source ou la diffusion régulière mais inéluctable de géo-services tels que Google Earth, Virtual Earth, le Géoportail. 
  
 +FIXME /* Il me semble que vous commencez une nouvelle partie sur les Types d’exploitation. Mettez un nouveau titre*/
 En termes de types d’applications, on peut distinguer des niveaux de structuration différents qui déterminent en partie la pérennité du projet et le niveau d’appropriation par les publics potentiels : En termes de types d’applications, on peut distinguer des niveaux de structuration différents qui déterminent en partie la pérennité du projet et le niveau d’appropriation par les publics potentiels :
  
Ligne 42: Ligne 42:
  
 – Les systèmes fédérateurs : ce sont les systèmes les plus structurés techniquement.  – Les systèmes fédérateurs : ce sont les systèmes les plus structurés techniquement. 
-Ils dépassent la durée de vie d’un projet classique et ne sont généralement pas liés à un individu spécifique mais sont intégrés à une dynamique institutionnelle qui les porte et leur assure une grande pérennité. Les corpus de données sont alors très riches. On voit souvent ce type d’application dans les organisations liées à la gestion territoriale quel que soit l’étendue du territoire+Ils dépassent la durée de vie d’un projet classique et ne sont généralement pas liés à un individu spécifique mais sont intégrés à une dynamique institutionnelle qui les porte et leur assure une grande pérennité. Les corpus de données sont alors très riches. On voit souvent ce type d’application dans les organisations liées à la gestion territoriale quel que soit l’étendue du territoire
 +FIXME /* Vous n'avez pas inventé cette typologie mais l'avez trouvée dans la bibliographie. Il faut appeler les références bibliographiques dans le texte */  
  
 En effet, les informations archéologiques ont une composante spatiale (géographique) mais aussi temporelle. Il est nécessaire de gérer l’incertitude sur l’interprétation des informations, les données manquantes ou incomplètes, etc.  En effet, les informations archéologiques ont une composante spatiale (géographique) mais aussi temporelle. Il est nécessaire de gérer l’incertitude sur l’interprétation des informations, les données manquantes ou incomplètes, etc. 
- 
  
  Dans ce contexte, les outils, particulièrement les SIG, traduisent non seulement les logiques propres de la discipline mais répondent aussi aux besoins et aux contraintes des organisations.  Dans ce contexte, les outils, particulièrement les SIG, traduisent non seulement les logiques propres de la discipline mais répondent aussi aux besoins et aux contraintes des organisations.
- Ils déterminent autant qu’ils en sont issus les processus de recherche. Notre objectif a été de faire un premier état des lieux de la mise en œuvre des SIG dans différentes organisations de l’archéologie afin de mettre au jour d’une part des lignes directrices collectives et d’autre part les différences profondes et structurelles, tant au niveau des techniques et des méthodes de développement des projets, des infrastructures matérielles, des objectifs ou des résultats attendus+ Ils déterminent autant qu’ils en sont issus les processus de recherche. Notre objectif FIXME /* Les objectifs doivent être exposés avant celui-ci, pas après */a été de faire un premier état des lieux de la mise en œuvre des SIG dans différentes organisations de l’archéologie afin de mettre au jour d’une part des lignes directrices collectives et d’autre part les différences profondes et structurelles, tant au niveau des techniques et des méthodes de développement des projets, des infrastructures matérielles, des objectifs ou des résultats attendus FIXME /* N'oubliez pas les points en fin de phrase*/ 
 Ce qu’on peut retenir sur la question technique, c’est que la plupart des projets liés aux organisations de la recherche sont basés sur des infrastructures techniques légères mais conceptuellement robustes. Une très nette préférence est donnée aux applications monopostes facilement contrôlables et ne faisant pas appel à des ressources ou à des compétences techniques extérieures.  Ce qu’on peut retenir sur la question technique, c’est que la plupart des projets liés aux organisations de la recherche sont basés sur des infrastructures techniques légères mais conceptuellement robustes. Une très nette préférence est donnée aux applications monopostes facilement contrôlables et ne faisant pas appel à des ressources ou à des compétences techniques extérieures. 
  
Ligne 57: Ligne 57:
 Même si ce sont les petites échelles qui sont les mieux représentées, toutes apparaissent avec des organisations qui peuvent être très différentes et des expressions d’objets qui peuvent varier fortement d’une base de données à l’autre. On retrouve cependant les modalités d’expression graphique les plus classiques : l’artefact, les structures archéologiques ou le site. Même si ce sont les petites échelles qui sont les mieux représentées, toutes apparaissent avec des organisations qui peuvent être très différentes et des expressions d’objets qui peuvent varier fortement d’une base de données à l’autre. On retrouve cependant les modalités d’expression graphique les plus classiques : l’artefact, les structures archéologiques ou le site.
  
-Dans la majeure partie des cas de figure, les attentes liées aux SIG sont associées à la gestion de la dimension spatiale de l’information et à la possibilité qu’offrent ces outils de disposer d’outils d’interrogation et de manipulation (approches exploratoires) pour au final produire des cartes. Les approches modélisatrices sont peu représentées et l’examen plus détaillé des modèles utilisés relève en toute logique des modèles géographiques (Thiessen, places centrales). +Dans la majeure partie des cas de figure, les attentes liées aux SIG sont associées à la gestion de la dimension spatiale de l’information FIXME /* N'est-ce pas évident et aurait dû être expliqué par des exemples pour les lecteurs de ce manuel ? */et à la possibilité qu’offrent ces outils de disposer d’outils d’interrogation et de manipulation (approches exploratoires) pour au final produire des cartes. Les approches modélisatrices sont peu représentées et l’examen plus détaillé des modèles utilisés relève en toute logique des modèles géographiques (Thiessen, places centrales).
- +
  
 ===== La naissance d’une discipline : l’Archéomatique ===== ===== La naissance d’une discipline : l’Archéomatique =====
- 
- 
  
 L'archéologie est la science qui a pour objet l'étude des civilisations humaines passées à partir de l'ensemble des vestiges matériels ayant subsisté (écofacts et artéfacts) et qu’il est parfois nécessaire de mettre au jour par la fouille. L'archéologie est la science qui a pour objet l'étude des civilisations humaines passées à partir de l'ensemble des vestiges matériels ayant subsisté (écofacts et artéfacts) et qu’il est parfois nécessaire de mettre au jour par la fouille.
Ligne 69: Ligne 65:
  
 La géomatique permet de rassembler, à l’aide d’un système d’information, l’ensemble des connaissances et technologies nécessaires à la production et au traitement des données numériques ayant une position géographique. La géomatique regroupe donc les outils et méthodes permettant de représenter, d’analyser et d’intégrer la représentation d’un objet ou d’un phénomène localisé dans l’espace et dans le temps. La géomatique permet de rassembler, à l’aide d’un système d’information, l’ensemble des connaissances et technologies nécessaires à la production et au traitement des données numériques ayant une position géographique. La géomatique regroupe donc les outils et méthodes permettant de représenter, d’analyser et d’intégrer la représentation d’un objet ou d’un phénomène localisé dans l’espace et dans le temps.
 +FIXME /* Pour moi, les 2 paragraphes précédents devraient constituer l'introduction de votre article*/
  
 C'est dans cette rencontre de ces discipline que l’archéomatique cherche à apparaître. Elle permet alors d’appréhender les découvertes archéologiques (structures, mobiliers, etc.) dans leur contexte spatial ou géoréférencé, grâce à des moyens informatiques.  C'est dans cette rencontre de ces discipline que l’archéomatique cherche à apparaître. Elle permet alors d’appréhender les découvertes archéologiques (structures, mobiliers, etc.) dans leur contexte spatial ou géoréférencé, grâce à des moyens informatiques. 
Ligne 78: Ligne 75:
 Les Systèmes d'Information Géographique (SIG) tiennent une place centrale dans cette discipline. Ils permettent de lier les bases de données avec les représentations cartographiques. Ils sont capables de gérer en toute sécurité une grande masse de données, de les modéliser, de les analyser et d’en assurer une représentation cartographique. Les Systèmes d'Information Géographique (SIG) tiennent une place centrale dans cette discipline. Ils permettent de lier les bases de données avec les représentations cartographiques. Ils sont capables de gérer en toute sécurité une grande masse de données, de les modéliser, de les analyser et d’en assurer une représentation cartographique.
 Elle est le lieu de production de la recherche méthodologique à la fois appuyée sur les axes et les projets et déployée dans ceux-ci. Elle contient également des projets de recherche spécifiques comme les travaux sur l’interopérabilité des systèmes d’information archéologique et leur inscription dans le web sémantique, le développement de modèles de publications électroniques et la modélisation de l’information archéologique. Elle est le lieu de production de la recherche méthodologique à la fois appuyée sur les axes et les projets et déployée dans ceux-ci. Elle contient également des projets de recherche spécifiques comme les travaux sur l’interopérabilité des systèmes d’information archéologique et leur inscription dans le web sémantique, le développement de modèles de publications électroniques et la modélisation de l’information archéologique.
 +FIXME /* Vous pourriez questionner l'autonomie de cette discipline par rapport à l'archéologie et à la géomatique et interroger les liens avec cette dernière*/ 
  
 {{ :manuel:archeologie.png?400 |}} {{ :manuel:archeologie.png?400 |}}
-                                                     Maquette de la licence 3 d’archéologie de l’université de Tours.  +                                                     Maquette de la licence 3 d’archéologie de l’université de Tours.                                                      
-                                                     +
                                                 L’archéomatique apparait ici comme l’une des disciplines clés de la formation.                                                 L’archéomatique apparait ici comme l’une des disciplines clés de la formation.
                                                                                                  
-                                                 + FIXME /* Il manque une conclusion*/                                              
- [[|Laroumanie]] M1 GéoNum, 2022-2023   +                                                                                           
-                                                                                             +
                                                                                                  
                                                                                      
Ligne 102: Ligne 98:
 DESJARDIN, Eric, DE RUNZ, Cyril, PARGNY, Dominique, et al. Modélisation d'un SIG archéologique et développement d'outils d'analyse prenant en compte l'imperfection de l'information. Retour des projets SIGRem et ArchéoChamp. Rev. Int. Géomatique, 2012, vol. 22, no 3, p. 367-387. DESJARDIN, Eric, DE RUNZ, Cyril, PARGNY, Dominique, et al. Modélisation d'un SIG archéologique et développement d'outils d'analyse prenant en compte l'imperfection de l'information. Retour des projets SIGRem et ArchéoChamp. Rev. Int. Géomatique, 2012, vol. 22, no 3, p. 367-387.
  
- +[[|Laroumanie]] M1 GéoNum, 2022-2023  
  
  
manuel/geomatique_archeologie.1684308849.txt.gz · Dernière modification : //17/05/2023 09:34// de joliveau

Bandeau bas