Comme pour le géoréférencement d’un fichier image, l’importation d’un fichier vectoriel nécessite la création d’une nouvelle carte, ce qui implique la sélection d’un type d’unité et d’une résolution associée. Une fois cette étape validée, une nouvelle boîte de dialogue apparaît pour permettre le choix d’un type de projection ainsi que la définition des limites géographiques de l’image (Xmin, Xmax, Ymin, Ymax).

Il faut ensuite importer les données à corriger : [Fichier/Importer/Données].

Dans une première boite de dialogue, le fichier correspondant doit être sélectionné, puis dans la seconde boite de dialogue, le configurateur doit être crée, et ce en sélectionnant l’une des deux méthodes proposées:

• affecter manuellement une couche à chacun des types et sous-types;
• laisser le logiciel créer le configurateur, ce qui implique la création de quatre types (ponctuel, linéaire, polygonal et textuel) pour chacune des couches. Cette méthode engendre cependant deux contraintes :

la création de couches où il se peut qu’il n’y ait aucun objet ;

l’apparition de types et sous-types sans intérêt.

C’est pourquoi il est important de définir la structure de la base avant de procéder à la création d’une nouvelle carte et à la mise en correspondance des données.

Quand cette procédure est terminée, il ne reste qu’à cliquer sur l’onglet [Importer].

Ce procédé est relativement simple même si l’intégration est un peu longue à cause de la correspondance entre les données d’un fichier à un autre.

La méthode de géoréférencement est ensuite la même que pour les images en mode raster.

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