Elle permet d’afficher graphiquement des informations contenues dans les tables, par le biais d’une nouvelle couche. Il existe plusieurs types de discrétisation, selon les données que l’on veut mettre en évidence :

- par classes : c’est un type quantitatif qui permet de représenter de 2 à 16 classes, pour un champ donné.

- par barres ou par secteurs : on représente cette fois plusieurs champs, respectivement par cardinalité ou proportionnalité.

- par symboles : on visualise les données d’un champ unique par la représentation d’un symbole de manière proportionnelle, logarithmique… Contrairement aux autres types, celui-ci tient compte des éventuelles valeurs négatives.

- par densités de points : pour un champ donné, chaque point représente une quantité définie.

- par valeurs individuelles : c’est un type qualitatif qui s’applique pour un champ à des données alphabétiques.

- par colorations continues : ce type permet d’afficher les données comme des graduations de couleurs.

Hormis la discrétisation par valeurs individuelles, les autres concernent des données numériques.

A l’intérieur de chaque type, on peut choisir d’appliquer une des six méthodes de calcul : même nombre d’enregistrements, même amplitude, répartition automatique, écart-type, quantile, sélection manuelle des classes.

Il est possible de paramétrer :

• le nombre de classes (2 à 16),

• l’apparence (légende, styles de classes…),

• l’arrondi des valeurs,

• l’enregistrement du modèle,

• l’analyse (menu Carte/modification de l’analyse thématique ou par le contrôle des couches).

— Sandrine Jibidar, Gérald Chavanon, Grégory Preynat, Paul Carrot, Julien Barbier, Emilie Brunel 20/10/2005 14:08

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