Dans GéoConcept, c’est à partir du configurateur que l’utilisateur structure ces types/sous-types (voir: geoconcept)

En plus GéoConcept permet de (via le configurateur) :

• Rendre la saisie obligatoire d'un champ.
• Empêcher la modification d'un champ seulement ou de tous les champs d'un type (option du configurateur).

Chaque objet possède une fiche d'information composée de rubriques ou champs. Tous les objets d'un même sous-type disposent de la même structure de fiche : la nature des champs est la même, seul leur contenu peut changer.

Pour chaque sous-type, les fiches ne contiennent pas forcément les mêmes informations, en revanche au sein d'un sous-type, tous les enregistrements se composent des mêmes champs.

L'utilisateur peut organiser la présentation de sa fiche comme il le souhaite et il peut mettre une fiche en mémoire (via une icône).

Les autres champs présents sur la fiche d'informations sont des champs-utilisateurs : ce sont des champs communs à tous les objets d'un même type ou alors des champs particuliers à tous les objets d'un même sous-type.

Lors d'une sélection multiple, il est possible de passer d'une fiche d'un objet à une autre très rapidement. L'utilisateur a la possibilité de supprimer un objet d'un sous-type depuis sa fiche.

Le configurateur constitue le cœur de la base. L'utilisateur peut réaliser de nombreuses manipulations via ce dernier. Il est possible de limiter son accès par un mot de passe grâce à un outil présent sur le cd-rom d’installation (rest.xgo) qu'il faut charger dans le répertoire de base de Géoconcept.

Les liens ODBC établis vers des bases de données externes peuvent aussi être verrouillés si le créateur du lien décide de mettre un mot de passe et un nom d'utilisateur. Il est alors impossible de les consulter.

La base de données est orientée objet, il n’est pas possible de réaliser des jointures, liaisons ou fusions entre des tables.

Cependant, il est possible dans GéoConcept d'afficher certaines informations dans des “tables” appelés “listes”.

De plus, Géoconcept permet de se connecter à DBASE, DB2 FOXPRO, INFORMIX, INTRBASE, MSACCESS MSSQL, ORACLE, PARADOX, SYBASE.

Il est possible d'accéder à des bases de données externes via un driver ODBC et un certain protocole. Ceux-ci sont fournis soit par l’éditeur d’un logiciel, soit par un éditeur indépendant. Borland, pour sa part, fournit le protocole IDAPI, utilisé par Géoconcept. Il peut également utiliser le protocole d’Oracle.

Une configuration est une mise en correspondance entre la structure d’une base de données externe et le configurateur d’une carte GéoConcept. À une table de données externes, correspond un Type/Sous-Type GéoConcept et à une colonne de la table de la base de données externes correspond un champ d’un Type/Sous-Type de GéoConcept.

La configuration précise également la nature du lien entre les deux bases de données :

• Importation : les données de la base externe sont copiées dans la base de GéoConcept.
• Exportation : les données créées et manipulées dans GéoConcept sont exportées vers la base de données externes.
• Lien dynamique : les données associées aux objets GéoConcept ou les objets eux-mêmes sont lus et manipulés directement dans la base de données externes.
• Duplication : les données de la base de données externe sont dupliquées dans GéoConcept pour y être manipulées et renvoyées à la base de données externe si modification.

GéoConcept ne gère pas le langage SQL dans sa base en interne. En revanche, il permet l’utilisation de ce dernier sur une base de données externe Via ODBC. La principale utilisation qui en est faite est l’écriture et l’exécution de requêtes SQL de Sélection. On peut alors importer et mettre à jour tout ou partie des informations issues de requêtes SQL ou bien sélectionner (Select) des objets Géoconcept par requête SQL. Dans ce dernier cas, une fois la requête rédigée et éventuellement pré-visualisée, il suffit de la lancer à partir du Menu Données/Requêtes SQL externes – le menu propose la liste des différentes requêtes SQL disponibles.

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